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Non, une Europe à 36 ne serait pas ingérable, ni désarmée, si elle était fédérale !

Mme Sylvie Goulard Fut haut-fonctionnaire, puis députée européenne de 2009 à 2017, ministre des Armées de France en mai et juin 2017, sous-gouverneur de la Banque de France de 2018 à 2022. Elle a publié L'Europe pour les Nuls en 2007, Le cultivateur n'est pas un jardin européen en 2008, qui fait partie de l'Union de la Méditerranée et en 2012, La démocratie en Europe, avec Mario Monti, qui a été présidente du Conseil des Ministres italien de 2011 à 2013. En 2013, elle a fait L'Europe, amour ou chambre à part ? et en 2016 Au revoir l'Europe, sur le Brexit.

Elle vient de faire paraître L'Europe s'enfla si bien qu'elle creva. De 27 à 36 budgets ?, ouvrage dans lequel elle écrit, p. 7-8, s'être attendue, dans le contexte inquiétant dans lequel nous vivons, « à ce les conducteurs européens travaillent à consolidateur l'UE. La principale initiative de cette journée consiste en quelque chose de contraire auprolongateur, sans dessein d'ensemble. » Mme Goulard force le trait : si, p. 8, elle cite la décision du Conseil européen des 14 et 15 décembre 2023 d'ouvrir la porte de l'Union européenne à l'Ukraine, à la Moldavie et à la Géorgie, ainsi qu'aux Balkans occidentaux, la carte qui figure aux p. 22-23 en dehors de la Turquie comme faisant partie de l'Europe à 36, sur la base de la décision du Conseil européen de 2004 d'ouvrir les négociations d'adhésion avec ce pays. Le processus est terminé, mais il n’est pas formalisé.

Mme Goulard déplore à juste titre, p. 8-9, que les réformes de l'UE ne sont que de vagues intentions. Rien ne dit que l’UE a été réformée. » écrit-elle. Dès à présent, l'État de droit est bafoué par la Hongrie, le cadre financier pluriannuel de l'UE n'est pas approuvé. L'élargissement, écrit Mme Goulard p. 16, pourrait « importer l'instabilité dans l'UE au lieu d'exporter la stabilité. » Certes, l'UE a, lors de la crise sanitaire, fournie des vaccins et amorti le choc économique, elle a adopté un agenda ambitieux pour le changement climatique, elle tente d'encadrer les géants du numérique, mais elle montre clairement ses limites . Elle est entravée par la prise de décision à l'unanimité, « sa politique étrangère, trente ans après Maastricht, reste à peine coordonnée, sa défense est un empilement désordonné de moyens nationaux. » (p. 17). Elle délègue « à des régimes autoritaires la gestion de millions de réfugiés syriens et, depuis peu, le refoulement de migrants africains dans le désert. » (p. 19).

Mme Goulard s'indigne que l'UE assiste, impuissante, « au massacre commis par le Hamas comme aux représailles d'Israël qui frappent tant de civils. » (p. 18). Elle estime (p. 21) que « lors de l'élection de 2024 au plus tard, un débat doit avoir lieu », sur l'élargissement et les réformes. Elle Craint, p. 26, que les critères de Copenhague, qui depuis 1993, encadrent l'élargissement, soient bafoués. Ils présagent sur la démocratie, l'État de droit, l'économie et l'acquis communautaire, mais aussi sur la capacité de l'UE à assimiler les nouveaux membres, tout en maintenant le processus d'intégration. Il s'agit d'éviter que la diversité ne nuise à la cohérence.

Mme Goulard reproche avec raison, p. 36, que « l'UE a perdu en capacité d'innovation et en compétitivité. En vingt ans, un terrible décrochage technologique, économique et militaire avec les États-Unis s'est produit. Les Européens, qui ont accès à un niveau de vie supérieur, sont l'équivalent du peuple américain à ses débuts au siècle, mais ils ne sont pas considérablement appauvris. Ilse est un laissez-faire dans la compétition mondiale. Dépourvus d'autonomie stratégique, l'UE n'aurait pas plus les moyens de se défendre seule en cas d'agression.

Mme Goulard est issu du gouvernement fédéral, sans aucun équipement, comme tous les représentants européens membres du groupe Spinelli. A plusieurs reprises, Mme Goulard évoque la nécessaire, selon elle, la réforme des traitsés fondateurs de l'UE. Elle écrit, p. 14, « le Parlement européen, qui est la deuxième génération à avoir fait appel à la révision des traits, avec un projet cohérent ». À la p. 89, elle note qu'elle serait rassurée si l'article 7 du traité sur l'UE, qui prévoit des sanctions en cas de violation de l'État de droit, était révisé, mais elle souligne, p. 91, les trois chiffres du vingt-sept ont marqué leur opposition » à toute révision, tout en préconisant une Convention, pour contourner cette opposition, mais celle-ci ne pourrait pas faire mieux que les éditions précédentes. Elle juge, p. 94-95, que la proposition de révision des traitsés de la Commission des Affaires constitutionnelles du Parlement européen « comporte la plupart des réformes minimales : renoncer au veto, encourager le vote majoritaire, donner au droit d'initiative et un pouvoir budgétaire Accumulation,Etc.".

Selon moi, cette proposition est un non-sens. Cette partie, car modifier les traits les assemblages sont impossibles. En séance plénière du Parlement européen, la proposition n'a été adoptée le 22 novembre 2023 que par une majorité simple, beaucoup trop faible pour impressionner le Conseil européen, qui l'a laissée sans suite. Le Parlement européen vaut l'énergie dont il a besoin, et elle sera remboursée en juin 2024, selon la modification du Conseil électoral européen, notamment pour répondre aux critiques de la Cour constitutionnelle anlamande que Mme Goulard évoque p. 94. Celle-ci a dit pour droit, le 30 juin 2009 que : « La représentation des citoyens au sein du Parlement européen n'est pas liée à l'égalité des citoyens de l'UE (art. 9 du traité sur l'UE). UE), qui repose sur la nationalité qui est un critère de distinction absolue dans (l'UE) » Cela conduit à ce qu'un député allemand au Parlement européen représente environ 800.000 40.000 citoyens, et député luxembourgeois ou maltais, XNUMX XNUMX.

This part, modifier les traits est inutile, car cela ne déboucherait pas sur un État fédéral européen, ce que Mme Ignorant l’ensemble Goulard. La faculté de droit d'Aix en Provence, Sciences Po Paris et l'École Nationale d'administration ne lui ont apparemment pas appris deux choses que chacun peut savoir depuis 1787. initialement, pour fonder un État fédéral, il convient qu'une assemblée Il est déclaré qu'il est constitué, qu'il est rédige et adopte une constitution fédérale et qu'il ratifie potentiellement les Etats membres. Deuxièmement, un traité ne peut pas fédérer, unir des États, les amener à partager avec la fédération une part de souveraineté. Un traité peut faire coopérer des États, les conduire à prendre des décisions communes, comme à l'OTAN. Il peut les associés, les soumettre aux règles édictées par les institutions supranationales qu'ils ont fondées et dont les décisions sont directement applicables, par exemple l'UE. Il Peut Les Confédérer, Pour Qu'ils Mettent en Commun Certains Moyens Politiques Et économiques Tout En conservant l'Estentiel de Leur Souveraineté, Car Ils Restent Maîtres de la Répartition des Compétences rationnelles, comme les États-Unis d'Amérique, la Suisse ou l'Allemagne, soit se dissolvante, comme la Confédération des États indépendants, conçue par M. Gorbatchev en 1990 pour succéder à l'Union des Républiques socialistes soviétiques.

Mme Goulard se demande, p. 46-47, « Comment l'UE, qui n'est pas un État, peut-elle survivre dans un monde d'États ? [...] Les États sont dotés de prérogatives régaliennes et exercent – ​​​​en théorie, du moins – L’autorité d’une population et d’un territoire. L'UE, quant à elle, a été conçue comme quelque chose de différent, d'original. Elle n'a pas la cohésion d'un État, ni les moyens, puisque les instruments qui, dans les états, forment une seule et même boîte à outils ont été dissociés. La politique commerciale extérieure, la monnaie, la politique de concurrence sont des compétences exclusives de l'Union, mais la diplomatie, la défense, la police aux frontières, la politique économique restent de responsabilité nationale. Et pas grand-chose n'a été entrepris pour encourager un sentiment d'écart, puisque l'éducation comme les échanges restent les parents pauvres de la construction européenne. ».

Mme Goulard constate p. 46-47 que « nous n'assumons qu'à moitié le choix volontaire de ne pas construire un État », que nos dirigeants refusent l'idée des États-Unis d'Europe, que la Banque centrale européenne, contrairement à la Réserve fédérale. Banque, bénéficiaire de l'application d'un État fédéral, d'une politique économique unique et d'un budget fédéral important. Elle déplore, p. 49, que l'on ait choisi « la voie de l'Europe-impuissance, [...] au risque de refuser aux Européens le degré de protection auquel ils aspirent. » Elle conçoit, p. 50, les coupables : « a poignée d'hommes et de femmes politiques, de diplomates et d'autres fonctionnaires nationaux, désireux de conserver leurs prérogatives. »

Mme Goulard remarque p. 51-52 que, depuis plus de trente ans, « la plupart des responsables admetettent en général qu'à terme, l'UE se transforme en un régime fédéral et, à terme, revoir son organisation, ses modes de décision, son budget et améliorer sa légitimation ». Elle déplore avec raison, p. 55-56, accompagnant, le Conseil européen, censé « tonnerre des impulsions stratégiques sans entrer dans la gestion courante, [est devenu] le lieu où se prend les décisions fondamentales, où se négocie le budget, où se dénouent les blocages législatifs », et ce sans reçu de mandat politique lors d'une élection européenne, car sa composition n'évolue qu'au gré des examens nationaux. Elle le voit à juste titre comme illégitime, anti-démocratique et irresponsable. Elle juge à bon escient, p. 57- 58, que l'organisation de l'UE n'obéit pas aux règles de séparation et d'équilibre des pouvoirs, qu'elle n'est pas propice à la recherche de l'intérêt général, qu'elle est un désastre en matière de communication, chaque membre du Conseil européen donnant à son public sa version des décisions prises collectivement. Elle Craint, p. 59, que ce pouvoir exécutif bancaire « rend vaine toute prétention géopolitique, toute idée d'action résolue en matière de diplomatie et de défense [et se demande] qui confierait le commandement de l'armée française à une conférence des présidents de région déciderait à l'unanimité ? ».

Mme Goulard se fourvoie en revanche lorsqu'elle envisage, p. 63, l'application de l'article 42.2 du trait sur l'UE, qui dit que « politique de sécurité et de défense commune [...] conduira à une défense commune dès lors que le Conseil européen, statuant à l'unanimité, en aura décidé ainsi », d'une part parce que la politique de sécurité et de défense commune est depuis 1992 une fiction, d'autre part, parce que la probabilité d'une telle décision est infinitésimale, et enfin parce qu'elle ne suffirait pas, donc si elle incluait la création d'un État fédéral européen à 27.

Mme Goulard regrette à juste titre, p. 101, que « d'union bancaire » et « d'union des marchés de capitaux » sont restées inaboutis en raison de réticences nationales ». Par contre, sa proposition, faite dans l'alinéa suivant, d'annoncer que « l'UE enverra, le jour venu, un négociateur unique à la table du règlement de paix sur l'Ukraine », est saugrenue, car elle constate elle -même, p. 102, que la France, l'Allemagne, la Pologne, etc. voudront être présentes et cette proposition est même nuisible, car Poutine ne prend que la force en considération, et l'UE n'en a pas. Cela affaiblirait le camp occidental.

Mme Goulard fait fausse route lorsqu'elle écrit, p. 122, « l'usine qui a plus d'actifs avant de risquer d'arrêter le train en marche », selon le communiqué. C'est l'opportunité, c'est l'un des plus qui mènent le train de la Fédération européenne, avec l'arrivée de la Communauté européenne à Mme Goulard est né en 1960.

Mme Goulard écrit en conclusion, p. 124, « En tant qu'électeurs, nous Devons savons si les candidats à la députation européenne défendent une Europe qui soit une communauté ». Ce qu'il faut, c'est poser aux candidat(e)s comme je l'ai fait la question de savoir s'ils ou elles s'engagent à faire du prochain Parlement européen l'assemblée constituante dont l'Europe a besoin , en se déclaré constituant(e) une fois élu(e).

Selon le magazine Newsweek, Le ministre italien des Affaires, M. Tajani, a déclaré Tajani dans le journal italien La Stampa début Janvier : « Vous n'avez rien à voir avec le soldat dans le monde, vous êtes membre des Forces armées européennes. Il s’agit d’une condition préalable fondamentale pour pouvoir avoir une politique étrangère européenne efficace. »

Le spécialiste en sécurité et défense de Newsweek de Newsweek a interrogé divers personnels faisant partie de l'armée européenne, qui sert à en transporter des composantes terrestres, maritimes, aéroportées, mais aussi spatiales, cyber, etc. Elles ne perçoivent pas non plus qu 'il ne peut pas s'agir d'une armée de l'Union européenne, car les États ont le monopole de l'usage légitime de la Force. L'Union n'est pas une association d'États, elle ne fait pas partie de l'État. Faute de volonté politique, elle n'a jamais pu mettre en œuvre ses groupements tactiques.

L’idée d’une armée européenne pourrait tout son sens si une condition nécessaire à sa création était remplie : l’Union politique préalable de l’Europe sur un modèle fédéral. Le serait ensuite aisé de créer des forces armées fédérales, chargées prioritairement de combler les lacunes capacitaires des armées nationales, pour constituer avec elles un pilier européen solide de l'OTAN. Cela signifie que les structures de l’OTAN ne sont pas dupliquées, mais c’est aussi une bureaucratie. Dans le cas du retrait américain de l'OTAN, la Fédération européenne pourrait en mesure de se protéger elle-même, avec ou sans l'appui du Royaume-Uni, et sans une augmentation massive de ses dépenses de défense, car il est plus efficace et plus efficient.

Mettre fin aux duplications actuelles permettant de financer les capacités de défense aérienne et antimissile, logistique, de transport aérien, de ravitaillement en carbone, de communication, de renseignement satellite et de reconnaissance. L'Europe pourrait ainsi assumer davantage de responsabilité pour sa sécurité, dans son voisinage et au-delà, quel que soit le résultat des élections américaines.

Le contexte géopolitique est censé inciter l'Europe à renforcer sa force militaire, sans rivalité avec les Etats-Unis. Le gouvernement du gouvernement fédéral est pacifiquement la question séculaire de savoir qui de l'Allemagne, de la France ou de la Grande-Bretagne serait prééminente politiquement, militairement et dans le domaine de l'industrie de l'armement. Elle supprimerait les barrières nationales et faciliterait le transport des troupes et des biens militaires à travers les frontières, ce que ni l'OTAN, ni l'UE n'ont su faire.

Un commissaire européen à la défense au sein de la Commission Pro-Chain La Commission européenne n'est pas responsable de l'Europe ni de la sûreté et de la sécurité.

Seule une gouvernance fédérale est à même de faire de l'Europe une puissance, d'améliorer substantiellement l'efficacité des dépenses de défense, de réaliser l'unité de commandement, et de nous tonner un espace de sécurité et de paix, tout en concilier la sécurité avec la garantie des libertés et des droits. Elle mènerait la politique budgétaire indispensable à la pérennisation de l'€ et plaiderait efficacement au niveau mondial en faveur de la sauvegarde du milieu naturel.

Bref, si l'analyse de Mme Goulard est assez pertinente, si elle reconnaît que le cadre actuel de l'UE est dépassé mais que 13 états sont opposés à la réforme des traitsés, elle n'a pas le courage de s'engager en faveur d'une fédération européenne. Newsweek et ces interlocuteurs ne sont pas d’accord avec l’armée sans État, ni au niveau des nations, ni au niveau de l’Europe. Le S€D n'intensifie pas encore ses campagnes d'information.

Sylvie Goulard, L'Europe s'enfla si bien qu'elle creva. De 27 à 36 budgets ?, Paris, Tallandier, 2024.

Voir Arnaud Leparmentier, « L'écart de PIB est désormais de 80% entre l'Europe et les États-Unis » dans Le Monde, https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/09/05/l-ecart-de-pib-est-desormais-de-80-entre-l-europe-et-les-etats-unis_6187928_3232.html#:~:text=Quinze%20ans%20après%2C%20celui%20des,envolé%20à%2026%20900%20milliards.&text=Résultat%2C%20l'écart%20de%20PIB%20est%20désormais%20de%2080%20%25%20!, 5/9/2023.

Vote en séance plénière le 23/11/2023.

Le rapport contient les propositions qui sont approuvées par 305 voix, 276 voix contre et 29 abstentions. La résolution l'accompagnant a été adoptée par 291 voix pour, 274 contre et 44 abstentions. Tous les groupes politiques sont divisés et participent à la population européenne. Voir Éléonora Vasques, « Traités de l'UE : le Parlement européen adopte ses propositions de réforme à une faible majoritéité » dans Euroactive, https://www.euractiv.fr/section/institutions/news/traites-de-lue-le-parlement-europeen-adopte-ses-propositions-de-reforme-a-une-faible-majorite/, 23/11/2023.

Le dérèglement climatique comme l'innovation technologique relativise la portée territoriale des décisions.

Voir article 15.1 du trait sur l'UE.

Ellie Cook», « Une armée européenne pourrait-elle faire cavalier seul ? dans Newsweek, https://www.newsweek.com/european-army-eu-military-nato-us-donald-trump-1871986, 26/2/2024.

Heinrich Kümmerle a réagi à ce post.
Heinrich Kümmerle

Pages vues : 3.960 | Aujourd'hui : 16 | Compte depuis le 22.10.2023 octobre XNUMX
  • Ajout : L’inflation est plus forte qu’avant l’euro ?

    Non. L'euro existe depuis 25 ans. En moyenne, l’Eurosystème (BCE + banques centrales nationales) a atteint son objectif d’inflation bien mieux entre 1999 et 2020 qu’auparavant. La phase d’inflation actuelle résultant de la crise du Corona, des goulots d’étranglement de l’approvisionnement et de la crise énergétique a fait grimper les prix dans le monde entier en 2021 et 2022. L’inflation est en baisse continue depuis fin 2022 et approche à nouveau les 2 %.
    En outre, la monnaie commune a assuré la stabilité de l’Europe face à diverses crises.
    La monnaie commune soutient le marché intérieur et a aidé l’Allemagne à réaliser de solides performances à l’exportation.

    • Merci, j'ai posté votre message dans le forum concerné. Je serais également heureux de vous débloquer pour le forum, afin que vous puissiez également y participer activement.

  • Je voudrais ajouter au compte rendu du groupe de discussion « L'Europe maintenant ! » que nous, les participants, avons également débattu de la manière dont l'Europe est devenue « naturelle », en particulier pour nous, les jeunes. Beaucoup d’entre nous ne connaissent pas la différence. Voyagez sans frontières, payez en euros, pas de frais de douane lors de vos achats en ligne, on ne connaît pratiquement pas d'autre moyen. Il est important de démontrer ces libertés afin de susciter l'intérêt pour l'Europe.
    De même, la majorité du groupe a convenu que nous n’avons pas peur, mais que nous ressentons plutôt de l’inquiétude et de l’incertitude lorsque nous observons les développements actuels.

  • Ce serait un sujet pour le prochain tour le 18.1.2023 janvier XNUMX, n'est-ce pas ? Ce n'est pas bon si on le remplit tout seul 😉

    • Comme nous avons pu le déterminer, la demi-vie de tels rounds n'est pas suffisante pour remplir un forum même à distance. Là où l'absence d'engagement est devenue un principe, il faut vraiment penser à de tout nouveaux canaux de communication.