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Le poème d'aujourd'hui vient de Henri Timrod, dont je n'ai pris connaissance que lorsque vous Bob Dylan accusé ab Henri Timrod avoir radié. Timrod aurait été ravi si Dylan avait réellement "mis" ses poèmes en musique.
Sonnet : Je vous remercie
Je te remercie, bon et meilleur ami bien-aimé,
Henri Timrod, Poèmes collectés d'Henry Timrod: Une édition Variorum (2007)
Avec le même remerciement on murmure à une sœur,
Quand, pour une douce faveur, il l'a embrassée,
Moins pour les cadeaux que pour l'amour que tu envoies,
Moins pour les fleurs que ce que les fleurs véhiculent ;
Si, en effet, je devine vraiment leur sens,
Et ne pas m'attribuer, indûment,
Des choses que tu n'as ni voulu ni voulu dire,
Oh! dis-moi, l'espoir est-il donc tout à fait égaré ?
Et suis-je agité par ma propre affection ?
Mais dans ton beau cadeau, je pensais avoir tracé
Quelque chose au-dessus d'une prédilection éphémère,
Et qui, pour cela je ne connais pas de nom plus cher,
Je désigne comme amour, sans flamme d'amour.
Il n'y a guère de façon beaucoup plus agréable de dire merci et j'utilise donc le poème de Timrod pour passer en revue hier soir, qui du moins pour moi a duré jusqu'à environ 4 heures du matin.
Pour ceux que je n'ai pas salués par leur nom hier, veuillez m'excuser. Et ceux qui me connaissent depuis un moment me le pardonneront certainement.
En tout cas, ce fut une journée très réussie, et mes remerciements vont donc également à Kerstin ainsi que Klaus Brenner avec son équipe ainsi que sur Corina Stoll et leurs employés.